• Rebel yell

     

    Rebel yell

     

    L’étrangeté et l’adoreté /la doreté
    Du piment amant moteur destroyé
    Ne tarira jamais dt’en fourrer une
    Si tu me baise
    Pas peur d’la prune
    Ne vous déplaise
    Allons va ! Où va le moi !
    Le mal(e) étendu, le mal mal entendu
    Epuiseur epuisette social mondial prisonne les oh nettes hommes,
    La femme et l’âme, l’amer dégout de substitution
    Ou allez vous ! hé merde, jm’en fous !
    Vous avez choisi vous etes asservi soit esclave a vie et ouvre ton
    fionrizon
    Le chacun pour sa gueule, gueules de cons
    Jeux de guignols, votre âme a creusé son trou
    Vous etes meprisant, vous etes emmerdant
    Vous etes impuissant, pend dans les dents !
    Hair dans le vent, aire du temps !
    Ton temps t’attend, mon temps est (en) avant.
    On profane l’Art, macule l’Intégrité,
    On calomnie l’Artiste, prostitue la Liberté
    Indigne ignare ; clochard de culture
    Culture de clochard, un balai dans l’cul
    Continuer donner l’flambeau caveau cajot
    A vos babins futur crétins ca ira pas loin
    Enervé du vénéré , idole gogole,
    Amour toujours Inculte un culte
    Passion à la poubelle, poubelle à la pas/s/tar/isat /ion (pas star, passion
    starisation , passion star)
    J’accepte l’intolérence lorsque je la rends
    Acceptez le doigt, là où jvous la tends
    Acceptez mon doigt, avec tous mes compliments

    J’éjacule le féminisme, Je remacule (ou remaquille) le masculine
    Je mastique des mots, j’insecte (j’injecte, j’astique) les vers, les
    borderlines
    Androgynie mon génie, la folie c’est l’amateur
    J’ai le vague à l’âme, j’ai la vague de crâne,
    Au secours, au secours, Avant c’était mieux,
    avant c’était sex fun n rock n roll slaughter,
    Art de la fantaisie extasie n’ayons pas peur du ridicule
    Le ridicule ne tue pas,

    Puisque le ridicule n’existe pas.
    substance de décadence, le chaos me manipule !
    Soyons brillant bracelets étincelant,
    Soyons talent, soyons ardent
    Vivons mal heureux, vivons fiévreux,
    Vivons seul –soigné- et bien accompagné,
    Marchons droit chaque droite boxé et dormons torturé de liberté
    Je parle de vous, je parle de moi
    Entre nous, c’est moi qui vois,
    Et putain, merde qu’est ce que j’en sais
    Comme tout le monde, j'vais crever.


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