• Rêve d'Haloween 2017

     

    Rêve étrange dans une atmosphère fantastique

    Nuit du 30 octobre 2017 - au 31 octobre 2017

     

     

    Préface

    Je me rappelle que j'étais dans une atmosphère de peur, de mauvais présage, en danger, que je devais fuir et me réfugier dans un lieu de protection, avec de bonnes vibrations. (malheureusement, je ne me rappelle plus pourquoi/quoi exactement mais je devais aller rejoindre ce lieu et ces gens comme moi qui se trouvait à République).

     

     

    1ere PARTIE : En route pour RÉPUBLIQUE

    L'histoire commence lors de ce trajet vers République.

    Je ne me rappelle pas de la station de départ mais je prends le métro en vitesse. Le temps court après moi. Je suis pressée. Je suis dans un wagon de la ligne 8 (ndlr : j'ai dû inconsciemment associer ça à ma ligne habituelle pour chez moi sans doute). Je suis assise sur un strapontin à côté des portes. J'ai, sur mes genoux, un sac ou plutôt une sacoche ou mallette d'écolier noir en cuir du début du XXe siècle. Je regarde régulièrement le nom des stations inscrits au dessus des portes, histoire de savoir si je suis presque arrivée...

    ''Filles du calvaire ! Très bien, c'est la prochaine !''

    Je me lève pour descendre tout en re-regardant le nom de la station RÉPUBLIQUE qui se transforme soudain en PARYS (nldr : ou PÂRIS, je ne me rappelle plus trop) sous un clignement d'yeux.

    Je suis interloquée ''que se passe-t-il ? je rêve là ? oh noooon j'ai dû rater ma station lorsque j'étais perdue dans mes pensées... mais... non, ça doit être un autre nom, l'ancien nom de la station République sûrement... j'ai dû changer d'époque...''.

     

    Car en effet, le paysage avait changé en même temps que le changement de nom. Le wagon de métro s'était transformé en une sorte de train/bus (nldr : train à cause des sortes de rails au sol et bus car ça ressemblait à un bus). Mais je dirais que ça ressemblait plutôt à UNE SORTE DE TRAMWAY avec un wagon blanc vieillit (nldr : pas électrique comme l'on connait aujourd'hui mais comme ceux que l'on voit dans les rues de San Francisco, je ne connais pas le nom de ce style de tramway).

    Le wagon était ancien et poussiéreux, les passagers (majoritairement des hommes) étaient tous habillés avec un costume et un chapeau melon noir (style dupont et dupont dans tintin), ils étaient tous, également, pressés comme s'ils allaient au travail. Ça criait, poussait, s'agitait pour rentrer, je sentais qu'ils étaient d'une classe pauvre, populaire. J'observais tout cela pour situer l'époque qui m'inspirait un Paris fin XIXe - début XXe. (fin 19e - début 20e).

     

    L'extérieur était aussi différent. Le quai de la station de métro se transforme en une vue en plein air, dans un zone industrielle, en plein carrefour. (nldr : donc très actuelle). Le ciel était froid, brumeux sans soleil. Le paysage était terne et sombre. Il n'y'avait personne. L'ambiance était mauvaise. Comme si c'était rempli d'esprits malveillants.

     

    Le son pour la fermeture des portes était restée la même qu'aujourd'hui. Paniquée de rater ma station, je décide de descendre et demander au chauffeur où était la station république et comment y aller. Le chauffeur ressemblait plutôt à Mr tournesol de tintin. Il était farfelu, un original. Très gentil et serviable mais ne répondait pas vraiment à mes questions. Il s'éparpillait beaucoup.

     

    Moi : "Je ne comprends pas Mr, sommes-nous à République ? car je regarde la station et je vois que nous sommes à la station Parys (ou pâris) ?''

    Chauffeur : ''Oui oui nous sommes à République. Parys (ou Pâris) c'est la même chose.... non vous êtes à Parys (ou Pâris)... héhé^^''

    Moi (exaspérée d'être tombe sur un farfelu, reste calme et demande) : ''Bon, comment puis-je retrouver la station République et dans combien de temps y arriverais-je, s'il vous plait, Mr ?''

    Chauffeur : ''Ah c'est très simple, vous pouvez y aller par la gauche ou tout droit ici, venez je vous montre... et Oh ce n'est pas loin du tout, c'est à 2 min ...''

    Moi (de nouveau exaspérée) : ''Non ce n'est pas la peine de vous déplacer jusqu'au bout du chemin pour me montrer !!!''

     

    Il continua ses explications fantasques que je n'entendais qu'en bruit de fond. J'étais, en fait, en train de me demander s'il se rendait compte que depuis tout à l'heure, il avait laissé les voyageurs attendre dans le tramway en colère... c'est comme s'il les avait oublié, emporté par son envie de m'aider... ça me faisait rire... ^^).

     

    Moi (le ré écoutant) : ''Ah c'est vraiment à côté alors !? :D Donc on est à République ! ....''

    Chauffeur : ''Oui, il faut juste monter ces escaliers et c'est au dessus, Mademoiselle héhé ^^ !''

     

    Il m'exaspérait tellement mais était tellement gentil qu'il me fit sourire.

     

    Moi (reprenant espoir) : ''Ok, merci Mr, j'ai compris, donc je dois prendre soit ce passage soit l'autre, au bout il y a des escaliers et j'y suis !? En fait Parys (ou Pâris) est une station en dessous de la station République !' République est une station en hauteur !? ^^''

    Chauffeur : ""Oui ma p'tite dame ^^, regardez attendez je vais demander quand même à Mr''

     

    Il demanda à un homme qui travaillait à la RATP, il avait une tenue d'éboueur orange ou vert kaki je ne sais plus, il balayait les escaliers au pied du métro. Des escaliers qui eux aller vers le bas.

    Je commence à désespérer. Il me paraissait si sûr de lui puis là, il se met à demander au balayeur ??!! Ma patience commencer à avoir ses limites jusqu'à ce que ce dernier confirme ses propos. Soulagée, je remercie ces Mr et me dirige vers le chemin de droite étant plus proche de celui-ci... Mais...

    ... je me perds, je ne retrouve pas la station République ! Je me mets à m’énerver en me disant que je m'étais bien fait duper par ce chauffeur !!! Reprenant mon calme et déterminée, je me décide à suivre mon instinct, mon intuition en prenant l'autre chemin (le seul en fait qui menait  République). Et... J'y arrive ! :D

     

     

    2ème PARTIE : LA MAISON CACHÉE DES BOIS AUX 1000 MERVEILLES (PROTECTRICE)

    Du métro République, je ne me rappelle pas le trajet des couloirs... Je me retrouve directement dans une école caché dans des rochers, sous des montagnes dans une foret ensoleillée, claire, où les feuilles vertes étincelait en luminosité autant que le bois et les feuilles d'automne tapissant le sol. Le paysage était beau, paisible, serein et paraissait magique. Je sentais les vibrations d'amour, de paix et de protection qui m'envahissait le cœur et l'esprit. Ce lieu me faisait penser à la ville du comté des Hobbits et des seigneurs des anneaux. J’ai retrouvé le lieu ou je devais être.

    Je me retrouve donc dans une école mais c’était dans une campagne.  Il n'y'avait que des petits enfants alors que moi j'étais adulte. J’étais copine avec des petites filles de 4-5 ans et des garçons de 7 – 8 ans . En cours, je redevenais enfant, je reprenais l'attitude que j'avais au même âge où j'étais épanouie, je parlais trop et à tout le monde, où je raconter ma vie en classe en toute innocence et où j'aimais partager le savoir de ce que ma mère me disait. J'adorais parler, échanger, partager, aimer ce qu'il y avait autour de moi, j'étais souvent perdue dans mes pensées, dans mes rêves et j'avais pas mal d'imagination. Ce qui fascinait les profs et attisaient la jalousie et la méchanceté des élèves. Je ne le savais pas à l'époque avant d'avoir subit les conséquences de ces actes...ce qui a crée en moi une cassure qui s'est déteint sur les années suivantes...

    Je me mets donc à monopoliser le temps de parole, je parlais, racontais ma vie, conseiller les autres élèves. Je voulais leur enseigner les bonnes choses de la vie, les bonnes valeurs, le savoir. L'authenticité, le bien contre le mal, la bonté, la passion, l'entraide, la compassion, l'amour, le partage et ce que c'était de ressentir et de se sentir vivant. J'étais moi-même, j'étais bien, je parlais avec passion sans me rendre compte du temps écoulé. Je me rends compte soudainement. Je vois mon auditoire me regarder avec grande attention, une attention respectueuse et silencieuse comme si j'étais le messie... Ils buvaient mes paroles du début à la fin avec fascination et intérêt. Le prof et les élèves n'osaient pas me couper et ne voyaient pas non plus le temps passer...

    On s'était tous compris. Ils avaient assimilés parfaitement mes propos et ''rentraient tous dans mon délire''. Tous souriaient. Comme si nos âmes parlaient entre elles et fusionnaient. C'était un moment et un sentiment très intense et fort que je ressentis à ce moment là. Un moment de cohésion, de communion plein de compréhension, d'union, de considération, de bienveillance. Une forte connexion spirituel sous forme d’énergie radieuse se graver à l'instant. Ils me voyaient comme je suis car c'était ce qu'ils étaient aussi. Ils comprenaient ce que j'émanais et transmettais car cela faisait écho à ce qu'ils étaient également. Nous étions tous de la même essence. Mais à leur yeux et de par mon âge, ils me mettaient à un rang au dessus. Ils disaient me voir comme un guide, un ange et me trouvaient intrigante, charismatique, inhabituel, importante, intéressante, intelligente.J'étais à la fois gêné par tant d'éloge et en même temps flâté.

    Enfant, c'était une chose que j'avais toujours voulu entendre des autres, sans prétention. Comme une sorte de considération de mon existence. Touchée par cet intérêt, cela coupa mon discours. Ils se mettaient tous à sourire, à acquiescer et valider mes propos pour me faire comprendre qu'ils avaient bien reçu le message. J'étais heureuse. Une partie de ma mission a été accomplie. Le professeur me félicita et avait le souffle coupé et sans pouvoir souffler un mot, m’applaudit. Je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi cet engouement généralisé. Pourquoi ils étaient tous fasciné par ce que j'étais, par ce que je disais... mais cela me remplissait de bonheur. A ce moment là, j'avais compris. Qu'ils avaient perçu/percé le fond de mon âme.

    Au fur et à mesure de mon discours et tout au long, je me détendais, me laissais aller, me re-approchais de ce que j'étais à l'origine, je changeais de taille et d'âge. Je vacillais entre l'enfant et l'adulte que j'étais pour enfin fusionner les 2 et redevenir finalement l'adulte enfantine. C'était comme s'il y avait un ajustement qui était en train de se faire entre mon ''moi enfant'' et mon ''moi adulte'' qui ont fini par n'être enfin qu'un. Je me rappelle avoir poursuivi par l'enseignement de la musique et j'ai commencé par chanter des chansons de bon jovi pour ensuite leur en faire écouter. Je voulais d'abord leur en faire écouter une mais emportée par mon enthousiasme et ma fougue légendaire, je me suis mise à leur en faire écouter 5 ou 6 dont ''Come On Up To Our House''. Je ne rappelle pas des autres chansons présentées mais ils adoraient ça et chantaient tous en chœurs. L'ambiance était remplie de vibrations très haute, belle, positives...cette joie intense me faisait planer... tout était en harmonie. Je me sentais comme un prêcheur afro-américain chantant du gospel dans une église au états-unis avec ses chœurs !

     

     

    3ème PARTIE : LA COUR DE L'INNOCENCE (ENTRE LE MAL ET LE BIEN)

    Le professeur nous dit d'aller jouer dehors. On se retrouve au bois magique des hobbits/seigneurs des anneaux.

    Il y avait autour de la cour des arbres verts et lumineux. Au centre, un tapis de feuilles mortes orangées qui tournaient vers le marron d'un parchemin ancien et usé... Au fond, une sorte de parc pour enfant que l'on trouve actuellement avec une grosse maison en bois a escalader avec des cordes, des points d'escalades qu'il nous était interdit d’approcher car c'était le secteur du mal. Cela amènerait les mauvais esprits vers nous...

    Nous jouâmes devant et vers le centre. On jouait tous aux boules avec des oranges. C'était très amusant. Certaines se perdaient dans la forêt tortueuse ou entre 2 branches tombantes effleurant le sol. Il y a avait plusieurs hauteur et profondeur comme si l'ont était sur des collines.... Je m'amusais avec une fille de 4 - 5 ans, elle m’apprenait comment elle fabriquait un objet en bois taillé car c'était le moment du cours manuel... C'était le moment de retourner en classe. Je partais récupérer les oranges perdues. Je suis redevenue enfant de 6 ans. Le professeur me crie dessus en me disant que c'était trop dangereux. Étant à côté du parc pour enfant interdit, je me met a l'escalader faisant mon intrépide comme je l'étais dans mon enfance. Un garçon du même âge que moi faisait de même à côté de moi. Le prof nous aperçoit au loin et nous hurle dessus :

     

    ''Nooon, descendez les enfants !!! Je vous avais pourtant dit que c'était dangereux !!! il y a derrière des mauvais esprits !! vite revenez vite ! vous avez réveiller le mal du parc maléfique !!!! revenez, et venez les enfants on va tous se réfugiez dans l'école sous la montagne avant qu'ils vous attrapent !!!''

     

     

    4ème PARTIE : RETOUR AU HOME SWEET HOME

    Je lève les yeux et le ciel commence à être envahi par des nuages sombres et noir. Prise de peur, je me suis dit que j'avais encore fait une bêtise.... je cours à toute vitesse vers le professeur qui nous abrite dans la classe sous la montagne ! et la, plus de soucis. Ici, nous sommes protégé. Nous reprenons le cours. Je redeviens adulte mais suis toujours élève. Et là, le professeur m'apprends que pour moi, il avait amené Jon Bon jovi pour me superviser et voir si y'a des choses a rectifier. Il avait la tête période ''Destination anywhere''.

    Il est plus précisément venu assister au cours et devait m’assister pour faire écouter du Bon jovi au élèves. Il me laissais faire sans rien dire et ne faisait que sourire. Il était sans voix, abasourdi en voyant à quel point j'étais fan du groupe et passionnée en parlant de musique.

    De mon côté, j'étais aux anges ! Mais professionnel. Je reprenais mes cours surveillés par le professeur et Jon Bon jovi. On reprenait les chansons et je continuais à parler de musique, ma passion... Le professeur était étonné et agacé de voir Jon ne jamais intervenir. Il ne faisait que sourire. Il disait qu'il était heureux et impressionné. Qu'il n'avait rien a ajouter, que je disais tout ce qu'il fallait dire. Et qu'il prenait du plaisir a m'écouter. A la fin, il me disait que j'avais tout compris. Il m’aimait bien et on parlait ensemble de musique longtemps. Je lui parlais totalement à l'aise, on rigolait, on goutait tous dans la classe.... Ma mère apparut de nulle part et parle également avec Jon. (nldr : Elle lui parle en anglais également alors qu'en vraie, elle ne connait aucun mot d'anglais). On s'entendait tous.

    Ma mère était avec moi et s’entendait bien avec Jon. Elle le taquinait agressivement. C’était bizarre. Je ne l‘avais jamais vu comme ça et cela ne lui ressemble pas. J'ai eu un moment d'inquiétude pendant qu'elle ne l'appréciait pas mais Jon répliqua de la même manière et ils riaient. Je trouvais çà très étrange surtout que cela ne correspond ni au caractère de ma mère ni au caractère de jon.... Ma mère est douce et joviale. Mais c'était leur façon de s'entendre et de rigoler. Donc si tout allait bien, abdiquons ... :D . J'étais sur un nuage et rassurée. Je me mets à les écouter et arrivais à peine a en placer une mais je parvins à lui poser une question qui me venait a l'esprit soudainement :

     

    Moi à Jon : ''Hey, jon, tell me, tell me what were your influences, your inspirations when you wrote ''Hearts broken even'', that is one of my favorite song ? Tell me what kind of music style is this song cause it's sound to me very romantic and in the same time there is a modern touch in here... It sounds like half 50's half 90's style, did u chose it ?''

     

    Ma mère intervient à ce moment là en lui posant une question et .... JE ME RÉVEILLE sans connaitre la réponse ! .... ><

     

     

    RETOUR A LA REALITE...

    Déçue mais le cœur léger et de très bonne humeur, je m'étonne de voir devant mes yeux, un soleil éclatant à ma fenêtre pendant la saison d'hiver !!! Je me suis dit que c'était un signe ! (nldr : + jeune, j'écoutais en boucle l'album ''These days'' contenant la chanson ''Hearts broken even'' qui venait de sortir le 27 juin 1995 [donc en été], devant cette même fenêtre en regardant le ciel sous un soleil éclatant).

    Je finis par me lever pleine de joie et le soleil fit perdurer ce sentiment.

     

     

     

     

    ANALYSE DU RÊVE

    MYSTÈRES RÉSOLUES

    1. Il y a beaucoup de choses étranges qui m'ont interpelé dans ce rêve comme ce lieu fantastique par exemple. Mais étant donné qu'il y a 5 jours, je me suis tapée tous les Seigneurs des Anneaux d'affilé et les Hobbits, je m'étais dit que cela venait sûrement de ça. Donc un mystère résolu.

    2. Pourquoi ce sentiment de danger, de peurs, que mon sentiment était très accès sur les énergies environnantes et d'avoir amené une histoire d'esprits bons et mauvais ?

    • Avant de m'endormir, je regardais des reportages complotistes et pas très rassurants sur le mind control. Cela ne m'affactait pas vraiment. J'étais sur une fréquence très zen et proche de la nature. Je me rappelle avoir eu l'esprit et les chakras ouverts et bien connectés à la terre étrangement. J'étais sereine, apaisée et je regardais la lune qui brillait à ma fenêtre avant de dormir.
    • Réponses possibles : J'ai dû être réceptives à certaines énergies pendant mon sommeil et/ou ai été influencé par ce que j'ai vu avant de m'endormir. Ces 2 états ont dû se mélanger et je suppose que cela a dû jouer dans mon rêve. Et pour me protéger j'ai dû me référer aux derniers souvenirs qui s'y approchaient comme le monde fantastique qui me rassurait et que j'ai ressenti en regardant les films cités plus haut. Films contenant aussi le combat contre le mal, les esprits malveillants. L'école et les enfants me représentaient. Innocence, force, joie, paix, bonheur, partage, passion, musique, avec des personnes qui m'inspirent paix et protection comme Bon jovi et ma mère... loin du mal : l'extérieur. Donc mystère 2 disons qu'il est également résolu.

              Ah j'y pense, ce rêve tombe le jour Halloween. Le jour des esprits, des morts... o_O

     

    MYSTÈRES NON RÉSOLUES

    3. Ensuite, le fait de me réveiller avec ce soleil tapant à ma fenêtre en plein hiver, me rapellant justement mes jeunes années où j'écoutais justement la chanson ''Hearts breakin even'' dans les mêmes circonstances et à la même fenêtre à la différence que jeune cela se passait en été. Je ressentais à chaque fois ce baume au cœur, cette joie inexpliquée qui m'envahissait.... sensation ressentie également dans mon rêve. Donc Mystère.

     

    4. Pourquoi chercher à aller se réfugier à République (métro) ?

    Pourquoi la station République a-t-elle était remplacé par une station se nommant Parys (ou Pâris) ? Et que signifiaient ces noms ? Y'avait-il une station de ce nom dans l'ancien Paris ? Se situait-elle à la place de la République à Paris ?

    Qu'était-ce ce tramway non électrique ? Cela existe-t-il ?

    Pourquoi avais-je situer cette époque entre fin 18e et début 19e ? Monde et époque qui s'entremêlait avec l'époque actuel ? Aurais-je traversé l'espace temps et fait un bon dans le passé ?

     

     

    Je commence donc par faire mes recherches :

    _PARYS_

     

    Parys : est une ville située sur les rives de la rivière Vaal, dans la province de l'Etat-Libre en Afrique du Sud. Le nom de la ville est la traduction de l'afrikaans de Paris.

    Afrikaans : L'afrikaans est une langue germanique issue du néerlandais, parlée en Afrique du Sud et en Namibie, notamment par les peuples de langue afrikaans dont les Afrikaners. Le mot afrikaans signifie « africain » en néerlandais.

    L'Etat Libre : L'État-Libre (ancien État libre d'Orange) est une des 9 provinces d'Afrique du Sud depuis 1994. L'État-Libre est peuplé d'environ 2.8 millions d'habitants (2016). L'État-Libre est situé dans les hautes plaines du centre de l'Afrique du Sud. Il dispose d'un sous-sol riche en minerais tels que l'or et le diamant. Avec ses 30 000 fermes, la province est réputée être le grenier à blé du pays. Par sa situation géographique, c'est aussi un carrefour ferroviaire important.  Sa capitale est Bloemfontein (municipalité de Mangaung - 2001) ce qui signifie « fontaine aux fleurs ».


    Très bien, des hautes plaines, un sol riche en or (lol ca me rapelle le film des Hobbits tiens x) mais bon ça reste insuffisant comme corrélation). Ensuite c'est un carrefour ferroviaire important Humm je me rappelle que le tramway à Parys était dans une zone industrielle et dans un carrefour... Ok continuons, sa capitale se nomme Bloemfontein ''la fontaine aux fleurs'' hum, c'est jolie ! Ok c'est noté. 

    Bon, je décide de couper cette page mais avant je défile jusqu'à la fin, on ne sait jamais... et c'est là que je vois :

    Personnalités historiques ou contemporaines de l'État-Libre : John Ronald Reuel Tolkien : auteur du Seigneur des Anneaux, né à Bloemfontein !!!

    WHAT THE FUCK !!! Là c'est zarb !!! Bon continuons. Je vais regarder quand même Pâris. On ne sait jamais.

     

     

     

    _PÂRIS_

    Pâris : Dans la mythologie grecque, Pâris (en grec ancien Πάρις / Páris) ou Alexandre (en grec ancien Ἀλέξανδρος/Aléxandros) est un prince troyen, fils cadet du roi Priam et d'Hécube.

    Hécube enceinte, un présage annonce que le futur prince qu'elle porte causera la destruction de Troie. Effrayé, Priam ordonne que l'enfant soit assassiné : Pâris est ainsi abandonné sur le mont Ida, où toutefois il se trouve recueilli par des bergers. Devenu adulte, il se fait reconnaître comme prince troyen, fils de Priam. Un jour qu'il garde ses troupeaux de moutons, il voit apparaître devant lui Aphrodite, Athéna et Héra, qui lui demandent de choisir à qui la « pomme de discorde », destinée « à la plus belle des déesses de l'Olympe », doit être remise : c'est le jugement de Pâris. Pâris opte en faveur d'Aphrodite, qui lui promet l'amour de la plus belle femme du monde. Il enlève donc Hélène, femme de Ménélas ; ce qui déclenche la guerre de Troie. Vaincu par Ménélas en combat singulier, il doit son salut à l'intervention d'Aphrodite. Guidé par Apollon, il tue Achille d'une de ses flèches, avant de mourir de celles de Philoctète.

    Le prénom « Alexandre » est d'origine grecque et a été formé par l'association de deux termes à savoir « Alexein » qui veut dire « repousser » et « Andros » qui signifie « homme ». De l'association de ces deux mots découle la signification du prénom « Alexandre » qui est : « repousser l'ennemi »

    Mont Ida : (en ionien-attique Ἴδη / Idê, en dorien Ἴδα / Ida) en Troade (ou Ida phrygien, par opposition à l'Ida crétois), actuel Kaz Dag (en turc Kaz Dağı), est une chaîne montagneuse (1774 m d'altitude au point culminant) de Mysie, en Asie mineure, délimitant la région de Troie. Ses plus hauts sommets sont le Cotyle et le Gargare. Ce dernier est souvent enneigé. Le  promontoire qui s'avance en Troade est nommé le Lectos.

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    Ok donc Pâris est, dans la mythologie grecque, un prince, le prince de Troie. Il s'appelle Alexandre. Il est très beau. Il viva sur le mont Ida. (Ida ?! Ça ressemble à mon prénom Aida o_O). Il choisit Aphrodite pour lui trouver la femme la plus belle au monde : Hélène. Son prénom signifie : repousser l'ennemi.

    Le mont Ida est une chaine montagneuse en Turquie. Ionien ? Dorien ? Phrygien ? C'est pas aussi des noms de gamme en musique ? C'est drôle ça. Bon comparons tout a avec la république.

     

     

     

    _RÉPUBLIQUE_

    République : La place porte ce nom en raison d'une statue de la République qui y est érigée. Elle s'appelait place du Château-d'Eau jusqu'en 1879, du fait qu'un château d'eau y était installé en 1811.

    Avec l’augmentation du trafic à la fin du XIXe et début du XXe siècle, la place devient un nœud de communication important de Paris. Les divers moyens de locomotion d'alors se croisent autour d'une grande esplanade comme le tramway funiculaire de Belleville (un tramway à câble reliant la place de la République à la colline de Belleville), les tramways de la compagnie générale des omnibus, qui desservent Paris, ou ceux des Chemins de fer nogentais dont le réseau dessert la banlieue est.

    1904 voit la fin de la construction de la ligne 3 du métro et l'inauguration de la station de métro République sous la place. Les lignes 5, 8 et 9 seront par la suite construites et desserviront également la place. La dernière, la 11 est inaugurée en 1935.


    Ok, donc la place de la république s’appelait place du château d'eau. Elle est un nœud de communication important de Paris où passe le tramway funiculaire de Bellville. Et tout cela se passe fin 19e début 20e. Bizarre. Tout colle !

     

     

     

    _PLACE DU CHÂTEAU D'EAU_

    Source Histoire de la place de la République


     Tiens, encore une histoire de fontaine... (voir le chapitre : Parys, + haut)

     

     

     

    _PLACE DU CHÂTEAU D'EAU_

    Tramway funiculaire de Belleville : Le tramway funiculaire de Belleville est une ligne de tramway à traction par câble aujourd'hui disparue qui reliait de 1891 à 1924 la place de la République à l'église Saint-Jean-Baptiste de Belleville, sur la colline de Belleville dans l'est parisien.

    Système hybride entre le tramway et le funiculaire, similaire au célèbre cable-car de San Francisco mis en service en août 1873, il est depuis 1935 remplacé sur son parcours par la ligne 11 du métro de Paris.

    En 1885, la population de Belleville comptait 9 000 petits fabricants et 30 000 ouvriers dont près de la moitié travaillaient hors de Belleville.La nécessité de desservir le quartier populaire de Belleville conduit à la fin des années 1880 à envisager l'établissement d'une ligne de tramway à traction par câble, seule capable d'affronter les pentes de la colline. Mais contrairement à San Francisco ou à d'autres villes américaines aux larges avenues rectilignes où ce nouveau système est mis en place, la largeur des rues parisiennes ne permet que de poser une voie unique, dotée de plusieurs évitements, le long d'un tracé, de plus, assez tortueux. Le tramway funiculaire est mis en service le 25 août 1891.

    Sous-entretenue durant la Première Guerre mondiale, la ligne nécessite de lourds travaux de remise à niveau à la sortie du conflit. Mais l'exploitation est finalement interrompue le 18 juillet 1924 et le tramway est remplacé par une ligne de bus, dite BF, exploitée avec des autobus Schneider H dont on retire les banquettes de la partie avant afin d'augmenter la capacité. Cette ligne est alors incorporée au réseau de la Société des transports en commun de la région parisienne (STCRP).

    Le tramway funiculaire dessert un quartier populaire de Paris ; pour cette raison, le tarif est unique et modeste : 0,10 franc. Ce tarif est réduit de moitié pour les circulations correspondant à l'entrée ou à la sortie des ateliers, en début et en fin de service. Malgré les tarifs très bas, la compagnie du tramway funiculaire est celle qui, à Paris, réalise les plus gros bénéfices au kilomètre grâce à la densité du trafic.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    Donc en 1891, il y a création d'un nouveau système de transport avec le tramway à traction par câble, visiblement pour des travailleurs, s'inspirant des villes américaines comme San Francisco. 

    En 1924, ce système est remplacé par une ligne de bus.

    Les dates correspondent encore. En regardant les photos, les hommes portaient bien des costumes noires et certains portaient des chapeau melon. Et les tramway sont bien de couleurs blanches.

    Et le tramway funiculaire dissertait un quartier POPULAIRE.

     

     

     

     


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